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bonjour
c est la parole de dieu et le désir du seigneur que nous le servons avec nos biens
Par Anonyme, le 13.01.2025
blog: sam-hyacinthe. centerblog.net
Par Anonyme, le 16.12.2024
que le seigneur vous inspire encore beaucoup plus
Par Anonyme, le 18.11.2024
je suis un chrétien et j'aimerais suivre les conseils du pasteur mamadou karambiri
Par Anonyme, le 06.11.2024
que la benediction du seigneur soit sur vous tous.
pasteur bavi kpadyu paul,
ce 16/10/2024
Par Anonyme, le 16.10.2024
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CONFIE-TOI EN L’ÉTERNEL DE TOUT CŒUR,
ET NE T'APPUIE PAS SUR TON INTELLIGENCE.
Date de création : 16.04.2013
Dernière mise à jour :
30.09.2025
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INFLUENCE SPIRITUELLE DU TERRITOIRE OU DE L’ESPACE DANS LA VIE DES HOMMES (Partie II)
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LA SEULE POSSIBILITE DE SE NOURRIR DES CAROUGES, OU NOURRITURE INTERDITE, C’EST DE DEVENIR A SON TOUR UN POURCEAU.
Que cela signifie-t-il ?
C'est une réalité matérielle et spirituelle. Il doit passer une alliance avec les ténèbres, signer un pacte afin de revêtir cette nature animale, la seule capable de lui donner l'aptitude et le droit de consommer cette nourriture qu’il convoite.
Cela peut arriver dans une entreprise, dans une relation amoureuse, ou ailleurs. La personne qui désire jouir des mêmes biens que les autres, qui désire telle femme ou un poste élevé est emmenée au préalable à passer une alliance qui le fait entrer dans la nature, le cercle des autres.
Cas de figure : si tu veux m’épouser, il faut que tu acceptes ma religion.
Exemple biblique : dans le livre de Genèse, nous avons le cas Sichem de Canaan qui, après avoir violé Dina fille de Jacob, tombe amoureux d’elle et demande sa main. Et voici ce que répondent les frères de Dina, fils de Jacob :
Ils leur dirent : C’est pour nous une chose impossible que de donner notre sœur à un homme incirconcis, car ce serait un déshonneur pour nous. Nous ne consentirons à votre désir qu’à la condition que vous deveniez comme nous, et que tout mâle parmi vous soit circoncis.Genèse 34 : 14-15.
Il est apparait donc clair, et la vie ne cesse de nous l’enseigner, qu’il existe des conditions préalables à respecter, avant d’être digne d’occuper un certain territoire.
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Ces dispositions spirituelles nous enseignent donc ceci : Nous ne pouvons malheureusement pas, en tant que chrétien, convoiter toutes les nourritures, tous les hommes ou toutes les femmes dans la vie. Certaines appartiennent à des personnes rangées dans le monde des ténèbres. Et tout ce qui est à eux est consacré au diable. Avant d'avoir la permission d'en manger, vous devez être des leurs. Parfois même le simple fait de les consommer vous intronise automatiquement membre de leur monde! Vous voyez des gens se nourrir des plus beaux plats, se gaver et boire du vin prestigieux. Mais quand l'ÉTERNEL les regarde, il voit là un troupeau de pourceaux qui se nourrit de leurs carouges.
Retenez donc la révélation que nul ne peut jouir des grâces de ceux qui ont déjà pactisé avec les ténèbres, nul ne peut bénéficier de leurs richesses, s'il n'a pas, à son tour, accepté de passer par là où ils sont eux-mêmes déjà passés.
Dieu ne permet pas à sa brebis de se nourrir dans la compromission. C'est lui-même qui fait obstacle, et qui ne permet pas aux propriétaires des champs de ne pas nourrir celui qui n'était pas des leurs, afin de le préserver. Ce jeûne forcé a rapproché la brebis perdue d'une la sagesse salutaire.
Daniel à Babylone se trouvait face aux meilleurs plats dont un homme pouvait rêver. Cependant, parce qu'ils appartenaient au roi, et que le but final de roi de Babylone était de les éduquer afin qu'ils deviennent de vrais babyloniens et qu'ils le servent à la cours, parce que ce roi était un païen et qu'il avait donc de facto une nature animale, manger cette nourriture équivalait à une souillure. C'était la nourriture des pourceaux babyloniens. Les mets du roi étaient destinés à rééduquer alimentairement et culturellement Daniel, de façon à ce qu'il change de nature.
L’homme ou la femme que tu veux est parfois déjà la propriété d’une autre femme ou d’un autre homme. Tu auras beau prier et jeûner, il ne sera pas à toi parce que, tout simplement, le diable ne veut pas, mais aussi DIEU ne veut pas.
TOUT LIEU (TERRITOIRE) QUE FOULERA LA PLANTE DE NOTRE PIED NOUS EST-IL DONNE EN HERITAGE ?
L’Eternel a fait cette promesse à Moïse (Deutéronomes 11 :24) et l’a réaffirmé à Josué lorsque celui-ci a pris la tête de la marche vers Canaan (Josué 1 : 3).
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Aujourd’hui, et ce depuis des décennies, de nombreux chrétiens de la mouvance protestante et surtout évangélique considèrent que cette promesse leur est également destinée. Alors, dans leurs prières, ils considèrent normal de rappeler à l’Eternel ce qu’il ne peut renier. Chaque fois qu’ils se retrouvent en territoire ennemi, dans un lieu qui leur est hostile, dans une entreprise, une famille ; bref un territoire qu’il aimerait conquérir, ils se conditionnent l’esprit avec ces paroles bibliques. Et ils les murmurent comme une incantation : «Tout lieu que foulera la plante de mes pieds m’est donné en héritage »
Si vous appelez à témoigner tous les chrétiens qui se sont fondés sur ce principe pour demander à obtenir la jouissance d’un territoire, vous comprendrez que seul un nombre très restreint de personnes a réalisé, au final, que le territoire lui était donné ; et que le pourcentage d’exaucement est donc faible. Pourquoi ?
Premièrement, lorsque nous nous approprions ces versets nous ne devons pas oublier que les premiers destinataires se sont les juifs naturels. Et pourquoi DIEU leur a fait cette promesse ? Parce qu’ils sortaient de 400 ans de captivité, et qu’ils n’avaient plus de territoire à eux. Alors si tu n’es pas en captivité, si tu as déjà un territoire, une femme, un mari ; si tu as déjà un travail, une entreprise, es-tu sûr que DIEU est disposé à t’accorder ce que tu convoites ?
Si la salle, la maison que tu espères possède déjà un maître, es-tu sûr que DIEU va le déloger de son territoire pour t’y établir ? Parfois ces questions ont des réponses négatives devant l’ETERNEL. Et nous aurons beau être des élus, des consacrés, des anges, il ne nous confiera pas certains territoires qui appartiennent déjà à d’autres.
Prenons l’exemple de Jacob. Doit-on encore le présenter aux enfants de DIEU ? C’est un patriarche, petit-fils d’Abraham ; un oint de premier rang. Après avoir « récupéré » le droit d’aînesse puis « subtilisé » la bénédiction d’Esaü son frère aîné, il s’est réfugié chez Laban son oncle. Un territoire donc qui avait déjà son maître ! Néanmoins, il s’y est enrichi (Genèse 30 : 43).
Homme béni par l’Eternel, celui-ci ne lui a pourtant pas donné en héritage le territoire de Laban quand ce dernier a commencé à nourrir des sentiments négatifs à son encontre :
Genèse 31 : 2-3 : Jacob remarqua que le visage de Laban n’était plus envers lui comme auparavant. Alors l’ETERNEL dit à Jacob : Retourne au pays de tes pères, dans ta patrie, et je serai avec toi.
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Il n’a pas fait mourir Laban, et n’a pas donné ses terres à Jacob. Que lui a-t-il dit ? Retourne dans ta patrie, et je serai avec toi. Autrement dit, si tu restes là je ne te garantit rien. Or il y a des enfants de DIEU qui s’entêtent à demeurer à certains endroits, à certaines places, et qui espèrent toujours que parce que leur pied a foulé un endroit, il leur sera donné en héritage !
Par ailleurs, il faut également rappeler ceci : ce que DIEU donne comme territoire est toujours délimité :
Tout lieu que foulera la plante de votre pied, je vous le donne comme je l’ai dit à Moïse : vos frontières s’étendront depuis le désert et le Liban que voici, jusqu’au grand fleuve, le fleuve de l’Euphrate, tout le pays des Hittites et jusqu’à la grande mer, au soleil couchant. Josué 1 : 3-4.
Ainsi, l’héritage était délimité. Il ne s’agissait donc pas de donner aux israélites tous les territoires de la planète, n’importe quel lieu que la plante de leur pied allait fouler. Non. Il s’agissait de « tout lieu à l’intérieur du périmètre que l’ETERNEL avait géographiquement précisé ».
Nous comprenons donc que si le territoire n’a pas au préalable été accordé et délimité par DIEU, le fait que ton pied foule son sol ne déclenche pas en ta faveur quelque partie que ce soit. Israël n’a pas eu en héritage l’Egypte ou la Syrie, et le Liban non plus. S’ils s’y étaient aventurés, eh bien le simple fait de fouler le territoire n’aurait pas livré ces pays entre leurs mains. Voilà.
CERTAINS PARMI NOUS SE SONT TROMPES DE TERRITOIRE
De nombreux échecs dans la vie de tous les jours sont liés à une erreur de casting au sujet du lieu dans lequel nous avons choisi de vivre. Et une fois que cela est fait, nous avons beau être bénis, il sera difficile, voire impossible d’atteindre ses objectifs. Qu’ils soient spirituels, qu’ils concernent la mise en place d’une église, rien ne prospérera. Car certains ministères ont également des territoires délimités par Dieu :
- Dans quel territoire DIEU a-t-il envoyé prêcher le prophète Jonas ? A Ninive, et seulement à Ninive. Si celui-ci était allé ailleurs, il aurait désobéit à Dieu.
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- Quel territoire JESUS-CHRIST a-t-il donné à Paul ? Il s’agit, d’après Actes 9 : 15, des nations et des rois, et devant les fils d’Israël. L’expression les fils d’Israël ne désignait pas ici Israël en tant que territoire, mais comme personnes. Il était donc habilité à aller partout, mais n’avait pas, par exemple, reçu les terres d’Israël comme « héritage ». Il n’y est donc pas allé prêcher la Vérité.
Le désir d’un pays, sa richesse ou sa démocratie ne sont pas forcément des critères favorables à tous. De même le fait qu’un territoire soit en apparence hostile ne signifie pas que nous n’avons pas le droit d’y vivre et d’y prospérer.
- Lot et le choix de la plaine du Jourdain : lorsqu’après la querelle de leurs serviteurs respectifs Abraham propose une séparation salutaire à Lot, quels sont les critères qui séduisent ce dernier ? L’apparence :
Loth leva les yeux et vit toute la plaine du Jourdain qui était entièrement irriguée. Avant que l’ETERNEL ne détruise Sodome et Gomorrhe c’était, jusqu’à Tsoar, comme un jardin de l’ETERNEL, comme le pays d’Egypte. Loth choisi donc pour lui toute la plaine du Jourdain et parti vers l’Est. C’est ainsi qu’ils se séparèrent l’un de l’autre.Genèse 13 : 10
Ce choix en apparence judicieux, se révèle en réalité négatif. Car Lot habite finalement des villes maudites, et y revêt la corruption. Sa femme est marquée du sceau de cette corruption, et ses filles également. Même si DIEU le sauve de la destruction par le feu qui s’abat ensuite sur les villes, il perd son épouse, tandis que ses filles finissent par coucher avec lui.
A-t-il encore de nombreux biens quand il s’établit sur la vallée de Tsoar ? Ce qui est sûr c’est qu’il devient même ivrogne.
-Le cas d’Abraham : Que lui a demandé DIEU ?
Genèse 12 : 1-2 : L’Eternel dit à Abram : Va-t’en de ton pays, de ta patrie et de la maison de ton père, vers le pays que je te montrerai. Je ferai de toi une grande nation et je te bénirai ; je rendrai ton nom grand. Deviens donc une source de bénédiction.
La bénédiction était liée au fait de quitter son propre pays, et de s’établir dans un territoire que DIEU lui-même allait montrer.
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REALITE BIBLIQUE D’UN TERRITOIRE SPIRITUEL QUI INFLUE SUR LA PERCEPTION ET LES APTITUDES PAR LES HOMMES
2 Corinthiens 12 : 2-4 :Je connais un homme en Christ qui, voici quatorze ans (était-ce dans son corps ? Je ne le sais ; était-ce hors de son corps ? Je ne sais, Dieu le sait) fut ravi jusqu’au troisième ciel. Et je sais que cet homme (était-ce dans son corps ou sans son corps ? Je ne le sais pas, Dieu le sais) fut enlevé dans le paradis et qu’il entendit des paroles ineffables qu’il n’est pas permis à un homme d’exprimer.
Ces paroles, un être humain ne peut pas les prononcer parce qu’elles n’appartiennent pas au monde dans lequel évolue les Hommes. Chaque être crée par Dieu a des aptitudes qui sont calibrées et destinées au monde dans lequel il vit. Un poisson vit dans l’eau, alors il est adapté pour y demeurer longtemps ; et si un être humain s’y aventurait, il ne pourra pas, par exemple, manger, boire de l’eau, dormir, et surtout respirer de façon naturelle.
Spirituellement, il existe des territoires, des espaces, des mondes invisibles, dans lesquels tout le monde n’est pas invité à s’introduire. Il faut avoir des dispositions, une qualification pour le faire : Les fils de Sceva ont voulu s’aventurer dans un territoire spirituel dans lequel ils n’avaient aucune qualification spirituelle. En effet, ils ont affronté un démon au nom de Jésus-Christ, sans être armés et qualifiés pour le faire. Lire Actes 19 : 13.
Le territoire de Gadara : il s’agit d’un endroit dans lequel habitait le peuple des gadaréniens. Un jour, Jésus y débarque et tombe sur deux personnes possédées par de nombreux démons. Lorsque ceux-ci, je veux dire ces esprits, le voient arriver, ils le reconnaissent et réagissent :
Ils lui crièrent : Que veux-tu de nous, Fils de Dieu ? Es-tu venu ici pour nous tourmenter avant le temps ?Matthieu 8 : 39.
De quel temps parlent-ils ?
Ces esprits possèdent et tourmentent deux personnes, et certainement d’autres dans la ville. Or un être humain a une durée de vie courte.
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Au bout de soixante ans environs, ces deux possédés allaient finir par mourir. Et ces esprits impurs, allaient-ils aussi mourir avec elles ? Certainement pas. Ils ont une durée de vie différente, beaucoup plus longue, presque une éternité.
Ils voient arriver le Fils de Dieu et ils s’inquiètent : es-tu venu pour nous perdre avant le temps ?
Le temps auquel ils font allusion est celui que Dieu leur a imparti, c’est-à-dire au temps de la fin et du jugement. Et ces démons connaissent le calendrier. Alors ils s’étonnent de sa présence à une heure qui n’est pas celle de la vérité.
Que fait alors Jésus, les détruit-ils ? Non. Car il ne peut rien faire avant le temps de Dieu. Il les laisse vivre, mais les envoie dans des pourceaux, afin de libérer les deux personnes démonisées. Ainsi, ils continuent à habiter le territoire de Gadara.
Tant que ce temps n’est pas arrivé, ces démons ont le droit d’errer sur le territoire de Gadara. Ils y restent, et des Hommes ils passent aux pourceaux, puis des pourceaux ils passeront vers d’autres Hommes.
Les habitants de cette ville sont tellement habitués à leurs démons que lorsque des témoins de la délivrance des deux possédés leur rapportent les faits miraculeux, ils ne se réjouissent même pas :
Matthieu 8 : 34 :Alors toute la ville sortit à la rencontre de Jésus, et, dès qu’ils le virent, ils le supplièrent de s’éloigner de leur territoire.
Qu’est-ce qui anime ces gens au point de dire au Sauveur : quitte notre territoire !
Il n’est pas rapporté que Jésus ait répliqué quoique ce soit à ces paroles. Pourquoi ? Parce que c’était effectivement leur territoire !
Spirituellement, Gadara était un territoire possédé par les démons pour un temps dont la fin n’était pas encore arrivé, et la présence de Jésus les a surpris ; car pour eux, il n’avait pas le droit d’y venir et surtout d’y manifester la gloire divine avant la fin prévue par l’Eternel, dont ils connaissent les signes.
Si vous habitez un territoire semblable, vous pourrez subir la loi de la majorité, celle qui ne veut absolument pas que Jésus y règne en esprit. Les personnes habitées par des démons seront à vos côtés, tandis que la majorité ne s’en préoccupera pas. Leurs pourceaux, leurs biens seront toujours plus importants.
Habitez-vous une famille, une entreprise, une maison, une ville, ou un pays pareil ? Vous ne trouverez Jésus-Christ que par une voie solitaire, car les gens ne vous aideront pas. Ils ne veulent pas de lui dans leur territoire. Parfois vous devrez le quitter. Et souvenez-vous que le Christ est aussi venu pour séparer les fils de leurs pères, les filles de leurs mères.
La profession :une profession est un espace doté de savoirs, de personnes qui l’exercent, des lieux où elle s’exerce…A ce titre il s’agit, par extension, d’un territoire. Il arrive que des personnes se trompent de profession. Ils réussissent leurs examens, obtiennent leurs diplômes, mais sur le terrain, absolument rien ne leur sourit. Ils n’y excellent pas du tout, et pour d’autres, ils y sont malheureux.
Le fait d’obtenir un diplôme, d’être armé pour agir quelque part n’est toujours pas le signe que spirituellement le territoire nous est favorable.
En termes de conclusion à cette méditation, que dire ?
Il n’y a pas de formule imparable pour trouver son territoire. Parfois nous devons nous tromper, et parfois nous y tombons comme qui dirait pile poil. En vérité, seule la miséricorde, l’amour et la volonté de Dieu peuvent nous révéler cette destinée si les chemins sont flous.
Prier et jeûner, voilà qui peut nous ouvrir les portes de la vérité cachée sous les malédictions, les erreurs, les mauvais jugements, les apparences…
Que l’Eternel Dieu continu à nous éclairer tous!