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Date de création : 16.04.2013
Dernière mise à jour :
30.09.2025
139 articles
Ci-dessus des chrétiens envoyés par leur pasteur brouter de l'herbe à l'extérieur du bâtiment qui leur sert d'église. Des enfants de Dieu peuvent-ils ainsi être utilisés ? Voilà pourquoi cette question se pose :
CHRETIEN, DONC ENFANT DE DIEU ?
EXERCER LE POUVOIR DE DEVENIR ENFANT DE DIEU
La méditation de la Vérité doit toujours consister à une relecture spirituelle de ce que nous savons déjà, soit dans le but de le confirmer, soit dans celui de l’améliorer, voire de l’annuler. Et le message de ce jour consiste à nous poser une question importante : D’où nous vient l’empressement qui nous pousse, en tant que chrétiens, de croire que tous ceux qui décident de donner leur vie à Jésus-Christ sont déjà dignes d’être appelés enfants de Dieu ?
Il est certes merveilleux d’être chrétien, car c’est par ce chemin que nous pouvons, nous les gentils et peuples du monde, acquérir cette nature spirituelle qui n’a été, au départ, qu’une grâce accordée au peuple de Dieu, à savoir Israël. C’est Christ, par qui nous acquérons ce nom de chrétien, qui nous accorde le salut par son sang. Cependant, il suffit de méditer sérieusement les écritures pour finir par comprendre qu’être chrétien ne nous donne pas le salut de manière certaine, et qu’il y a de notre part un pouvoir qui nous est certes donné, mais que nous devons mettre nous-mêmes en mouvement.
Permettez que je ne retienne en soutien à ce message qu’un seul texte, à mon avis le plus significatif, à savoir celui de Jean 1 : 12. Que déclare-t-il ? Il est écrit : Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu.
Les écritures me disent qu’en ayant reçu Christ dans ma vie, j’ai en même temps reçu en héritage un don, des dispositions, des facultés qui me permettrons d’obtenir le pouvoir de devenir enfin un enfant de Dieu.
Qu’est-ce qu’un pouvoir ? Il s’agit d’une faculté, d’une capacité, d’un droit de faire, d’une possibilité ou d’une aptitude. La lecture du texte de Jean, pourvu que nous soyons attentifs aux mots utilisés, nous enseigne clairement sur la vérité de cette nature d’enfant de Dieu. En effet, est-il permis d’affirmer ici que l’Esprit dit de tous ceux qui reçoivent Jésus-Christ qu’ils deviennent tous, sur-le-champ, des enfants de Dieu ?
Il semble que l’apôtre Jean précise bien que Christ leur donne le pouvoir de le devenir, mais pas de l’être tout de suite. Ainsi, même si c’est Jésus-Christ qui fait de nous des enfants de Dieu, cela ne se réalise que si nous acceptons de mettre ce pouvoir en action, afin de concrétiser nous-mêmes cette nouvelle nature en nous. Et cela se fait par la foi, grâce à la méditation des écritures, dans le but d’agir selon ce qui y est écrit, mais aussi à notre sanctification.
Nous avons dans ce verset de l’évangile de Jean, l’importance du verbe « devenir », qui imprime la nécessité d’une évolution, mais aussi d’une transformation. Car on ne peut pas devenir ce que l’on était déjà avant !
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Je veux dire par là qu’il n’est absolument pas juste de dire que tout chrétien est un enfant de Dieu, puisqu’il doit travailler, exercer le pouvoir de le devenir, une fois qu’il a reçu et accepté Jésus-Christ, pour en faire son Sauveur et son Seigneur. Et ce temps est court pour certains, plus long pour d’autres, à cause des tiraillements de la chair.
Pourquoi, me diriez-vous, au lieu de nous donner directement une nature spirituelle d’enfant de Dieu au moment où nous croyons, Jésus-Christ nous donne-t-il, j’allais dire, seulement le pouvoir de le devenir ?
C’est parce qu’il n’est pas possible de naître spirituellement de manière spontanée. Il n’est pas possible de passer, même le jour de son baptême, du statut d’homme animal à celui d’homme spirituel. Il n’est pas possible de passer du jour au lendemain de l’état d’enfant spirituel à celui de l’homme fait dont parle l’apôtre Paul. En effet, il en est de ce pouvoir comme de tout autre pouvoir, en ce sens qu’une fois donné, certains l’utilisent pas mal, et d’autres pas du tout ! C’est ici l’occasion de revisiter, au moins de mémoire, sur la parabole des talents (Matthieu 25 : 14-30) qui révèle comment certains, après avoir reçu des talents, synonymes d’un certain pouvoir, l’enterrent malheureusement, au lieu de le fructifier pour en faite une chose agréable au Maître. Ce qui fait que, malgré la grâce que nous avons de recevoir Christ, nous avons parmi nous de nombreux chrétiens qui ne parviennent pas encore à devenir des enfants de Dieu, parce qu’ils utilisent mal leur pouvoir, où croient qu’ils sont déjà enfant de Dieu par le simple fait de croire. Méditez donc vous-mêmes ceci : A quoi cela sert-il à Christ de nous « donner le pouvoir de devenir enfant de Dieu », si ce pouvoir n’a aucune utilité entre nos mains ? S’il nous donne ce pouvoir, c’est parce qu’il sait qu’il y a de nombreuses luttes à mener contre la chair ; que le fait d’accepter de le suivre ne nous délivre pas sur-le-champ des nos faiblesses. En effet, le jeune riche ne voulait-il pas avoir la vie éternelle ? N’avait-il pas compris que Jésus était le Maître venu de Yahvé ? La réponse est oui. Cependant, tout en étant devenu chrétien, il n’était pas encore enfant de Dieu ; car s’il l’était déjà devenu, il aurait accepté de suivre le Père ! Il observait déjà tous les commandements que Jésus lui présenta comme salutaires, preuve qu’il était candidat au Royaume céleste. Mais lorsque Jésus lui posa les conditions de la perfection, il devint difficile pour lui de prétendre au statut d’enfant de Dieu, capable de suivre le Père céleste, tout en étant dépouillé sur terre : Jésus lui dit: Si tu veux être parfait, va, vends ce que tu possèdes, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens, et suis-moi. Après avoir entendu ces paroles, le jeune homme s'en alla tout triste; car il avait de grands biens. Matthieu 19 : 21-22.
Un enfant de Dieu est un enfant de l’Esprit, car Dieu est esprit. Si donc une personne considère que les biens de ce monde sont aussi importants que le Père, et que suivre le Père nécessite forcément d’avoir aussi les richesses de la terre, alors il n’a pas encore la nature de l’Esprit. L’enfant de Dieu est celui qui a fini par intégrer l’idée qu’il est un étranger et un voyageur su terre, selon qu’il est écrit : Bien-aimés, je vous exhorte, comme étrangers et voyageurs sur la terre, à vous abstenir des convoitises charnelles qui font la guerre à l'âme. 1 Pierre 2 : 1. S’abstenir ne signifie pas les refuser lorsque l’Eternel nous les accorde ; mais cela veut dire que nous ne pouvons pas intriguer, organiser notre vie dans le but de les désirer. Pourquoi ? Parce que l’enfant de Dieu aspire à rentrer chez lui, dans le royaume de son Père. Il sait que la terre entière est sous la puissance du malin, et qu’en tant qu’héritier du grand roi, il ne peut pas en même temps être héritier du roi de ce monde qui est Satan. Sa nature lui fait comprendre que sur terre, il est en pèlerinage, et qu’en vendant ses biens pour les pauvres il ne fait que s’identifier à sa nature de citoyen du ciel. Mais le jeune homme riche qui est l’image du chrétien, n’a pas mis en mouvement son pouvoir, celui renverser les raisonnements humains, pour dire : « Après tout, puisque mon Père n’est pas de ce monde, moi aussi je ne suis pas de ce monde ».
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Le salut ne lui était pas interdit, mais il ne lui était pas encore accordé, parce qu’il n’était pas en mesure d’accepter la possibilité d’être enfant de Dieu, tout en devenant pauvre. Il n’était pas prêt de faire passer l’esprit devant la chair, ni même de sacrifier la chair, les biens de ce monde, au seul profit de Dieu.
Avec le pouvoir que Jésus nous donne, nous luttons pour renverser les forteresses intérieures et extérieures, les raisonnements, ainsi que tout autre obstacle que Satan met sur le chemin de notre engagement de foi, pour nous empêcher d’atteindre ce statu d’enfant de Dieu. Ecoutez d’ailleurs, en appui à cette manière de comprendre la nature d’enfant de Dieu, ce que répondirent Paul et Silas au gardien romain qui leur demandait ce qu’il fallait faire pour être sauvé : Paul et Silas répondirent : Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille. Actes 16 : 31.
Les apôtres lui avaient-ils dit qu’en croyant il était instantanément sauvé ? Non, ils lui dirent : et tu seras sauvé. Encore une inscription dans le futur, n’est-ce pas ? Mais pendant ce « devenir » qui est en mouvement, que font les démons ? Ils nous rodent autour ; et celui qui met sa lumière sous le boisseau, celui-là est submergé par les ténèbres.
Voilà pourquoi même une fois qu’il a accepté Jésus-Christ, Seigneur et Sauveur, un chrétien peut être victime d’esprits mauvais ou de la séduction du faux prophète, parce qu’au-delà des choses que nous avons déjà dites, il y a aussi cette incapacité qui peut-être la sienne à bien utiliser le pouvoir de devenir enfant de Dieu.
Nous aurions pu faire l’économie de la question concernant le sort de celui qui, s’étant repenti et ayant donné sa vie à Jésus-Christ, décède quelques heures après. Mais afin d’éviter les malices ou tout simplement de dissiper les doutes, répondons-y : Cette personne sera jugée par rapport à la sincérité de son engagement ; car l’Eternel sondera ses reins, ainsi que la vérité profonde de son cœur. S’il a été sincère, alors il ira au paradis, à la manière de l’un des pécheurs crucifié à Golgotha avec Jésus. Sera-t-il devenu, l’instant d’un soupir, un véritable enfant de Dieu ? Seul l’Eternel le saura. Mais c’est là une exception qu’il ne faut pas transformer en règle générale, comme le font certains.
Ne vous étonnez donc pas, pour revenir sur le terrain principal de notre ouvrage, qu’il y ait des chrétiens oppressés, ou sous une emprise tenace des démons ; car parfois ils ne sont pas encore devenus des enfants de Dieu.
CAS DES CHRETIENS QUI NE SONT PAS ENCORE DES ENFANTS DE DIEU
Commençons par prêter une oreille attentive au texted’Ephésiens 4 :20 : Mais vous, ce n’est pas ainsi que vous avez appris à connaître le Christ.
Les écritures mentionnent, encore une fois, cette notion d’évolution et d’apprentissage ; car nous voyons clairement que Paul rappelle aux saints d’Ephèse, que ce n’est pas ainsi qu’ils ont appris à connaître Christ. Cela imprime l’idée d’un cheminement, d’un parcours. On apprend à connaître Christ, donc on apprend à devenir Fils du Père. Et pendant ce temps, il n’y a pas de dépouillement immédiat de la vieille nature. Des choses anciennes demeurent, et ne tombent au fur et à mesure que si nous combattons contre la chair. C’est le sens du pouvoir qui nous a été donné. Car Satan qui sait très bien reconnaître ce qui lui appartient encore, va le réclamer. Ainsi, avant de devenir un papillon et de voler vers les hauteurs, le même animal est d’abord une chenille. Celle-ci rampe dans la poussière, en contact avec la bassesse. Ensuite seulement, il se transforme. Mais cela ne se fait pas en un jour, parce que, dans son engagement, le chrétien va revêtir la nouvelle nature, créée selon Dieu dans une justice et une sainteté que produit la vérité. Ephésiens 4 :24.
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Deux choses : Premièrement, il est écrit que le chrétien va revêtir la nouvelle créature, ce qui nous installe encore une fois dans l’esprit d’une progression, car il n’est pas écrit que le chrétien revêt, mais va revêtir ; donc c’est dans le futur, et non dans l’immédiat. Ensuite, c’est la vérité qui produit la sainteté, donc la vérité qui nous instruit et nous construit en tant qu’enfant de Dieu. Mais la Vérité, n’est-ce pas la parole de Dieu ? Si notre réponse est positive, comment celle-ci peut-elle produire la justice et la sainteté en l’Homme du jour au lendemain ?
CAS DES CHRETIENS VOMIS PAR CHRIST
De l’acceptation de Jésus-Christ à la crucifixion de la chair, Satan peut arriver, entre temps, à en fragiliser plusieurs, au point que nous avons des chrétiens que Christ a déjà rejeté :Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Apocalypse 3 : 16.
L’illusion des chrétiens tièdes, c’est qu’il y a encore un peu de chaleur en eux, et que celle-ci peut tromper tout le monde, y compris eux-mêmes. Mais qui le Seigneur peut-il vomir, si ce n’est celui qui était déjà à l’intérieur de lui ? Et qui est en Christ, si ce n’est un bon chrétien ? Par contre, une fois vomi de manière spirituelle, invisible, le chrétien s’en rend-t-il toujours compte, lui qui fréquente une assemblée, récite sa prière du soir, et qui donne des offrandes, voire des dîmes ? Non, il se croit donc toujours, mais à tord, enfant de Dieu ! Voilà comment celui contre qui les miroirs magiques étaient jadis inoffensifs lors des messes noires, protégés qu’il était par l’ange du Seigneur, redevient perméable.
Il est une autre vérité spirituelle révélée à Jean par le Seigneur, et que de nombreux pasteurs de ce siècle n’osent pas enseigner aux fidèles : de nombreux chrétiens iront bel et bien enfer, non seulement pour les raisons mentionnées ci-dessus, mais aussi parce qu’ils donnent encore l’impression d’être actifs dans l’assemblée, alors qu’en réalité, ils sont déjà en procès devant le Roi des rois : Ecris à l'ange de l'Eglise de Sardes: Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles: Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort. Apocalypse 3 :1.
Les gens vivants en apparence se trouvent aussi parmi ceux qui prêchent, évangélisent, servent comme diacre, chantres, balaient la salle de prière, donnent des dîmes, etc... Pourtant, quand le Seigneur les regarde, ils les voient morts.
Il fut un temps où j’ai eu la réputation d’être vivant, et que je me suis considéré comme étant agrée par Dieu, alors que j’étais encore parmi les morts. La sœur Ingrid, épouse du pasteur Abel de l’Eglise MEDREJ, m’avait vu en songe en état de mort, étalé sur un banc. J’avais pourtant déjà deux ans d’engagement avec le Seigneur ! L’information était dure à accepter, mais je ne savais pas que cela me disqualifiait pour le salut. J’étais sans doute trop enfermé dans cette idée du salut chrétien si facile que cela n’avait pas vraiment déclenché en moi la révolte nécessaire. Il a fallu que, quelques années après, Jésus-Christ me fasse la grâce d’avoir une vision de l’enlèvement :
« Le ciel semblait plus bas qu’il ne l’est actuellement, et le Seigneur Jésus-Christ y était suspendu, le regard puissant tourné vers la terre. Des hommes et des femmes montaient vers lui et, arrivés à une certaine hauteur, ils se transformaient en flammèche incandescente, et montaient dans le ciel. Sur terre, une panique avait saisi de nombreuses personnes qui couraient dans tous les sens. J’étais là debout, et sûr de ma fidélité, de ma foi et de ma vie d’époux fidèle. Par ailleurs, n’avais-je pas déjà commencé à prêcher dans l’église ? Alors que j’attendais mon tour, et que l’impatience commençait à me saisir, le Seigneur s’était tourné vers moi. Son regard était triste, chargé de compassion et regret. Pourtant, sans ouvrir la bouche, il me transmit par la pensée la condition de mon état : « Je te connais, mais je ne peux pas te prendre, me dit-il. » Puis, tout d’un coup, j’ai eu des bêtes qui se sont mis à me picoter le visage. Je me débattais, mais ils revenaient sans cesse. Ce fut à ce moment-là que je m’étais réveillé. »
Vous pouvez imaginer mon abattement et surtout mon étonnement !
Dans cet état-là, je ne pouvais être ni sauvé, ni à l’abri des attaques démoniaques ou de tous les sortilèges et incantations de ceux qui pratiquent la magie noire ! D’ailleurs, il en fut ainsi dans certains domaines de ma vie.
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Ce n’est que quelques années plus tard que j’ai enfin reçu de multiples visions merveilleuses du Seigneur pour m’indiquer mon nouvel état spirituel : J’étais enfin devenu, ou redevenu enfant de Dieu, mais il y avait encore des choses à faire tomber.
Au vu de toutes ces vérités, il ne m’est plus permis de croire dans l’imperméabilité des chrétiens, un groupe derrière lequel se cachent des profils trop différents. En outre, avant de m’entêter dans cette idée d’un chrétien « immunisé » contre Satan, et déjà sauvé quoi qu’il arrive, il faudrait, au préalable, effacer tous ces versets de la Bible auxquels j’ai part, et oublier cette vision de l’enlèvement qui m’a autant traumatisé qu’aider à me remettre en question.
Nous avons reçu le pouvoir de devenir enfants de Dieu, et nous devons sérieusement prendre conscience de ce pouvoir. L’ignorer, c’est croire que le chemin est déjà parcouru ; qu’il n’y a plus rien à faire. Si le Seigneur ne m’avait pas rattrapé à travers la vision de l’enlèvement, je n’aurais pas compris le verset principal de ce message, à savoir Jean 1 : 12. Je ne l’aurais parcouru qu’en temps que lecteur. Or maintenant, je le comprends par l’Esprit. Vous de même, comprenez-le de la même manière : Exercez le pouvoir de devenir enfant Dieu, et même quand l’Esprit lui-même vous convaincra que vous êtes enfin devenu un enfant de Dieu, gardez et exercez ce pouvoir, afin de ne pas être vomi par le Seigneur. Car il n’y a pas de sentiments dans le face au jugement.
Que l'Eternel Yahvé nous garde dans sa miséricorde !
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